UN PEU DE FRAICHEUR DANS CE MONDE PERTURBE.
Un peu de fraîcheur dans ce monde de brutes…
Ceux qui se souviennent avoir vécu ces moments là, auront gardé au fond de leur cœur, la fraîcheur de la simplicité et les souvenirs d’une enfance joyeuse et amicale.
Quand on lit que les anciens ont détruit la planète, nous nous devons de remettre les pendules à l’heure avec beaucoup de vérités.
Voilà un texte d’un anonyme que nous avons voulu vous transmettre :
« A l’époque, j’allais chercher le lait à la laiterie du village avec un bidon à lait en fer blanc, je l’ai utilisé plus de 15 ans sans en changer. Le lait était un lait naturel non traité qui sortait directement du pis de la vache, il n’y avait pas de brique d’aucune sorte…
On lavait les couches des bébés. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde. On avait un réveil qu’on remontait le soir. Dans la cuisine, on s’activait pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant que l’on pouvait en produire. Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique. On n’avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou auto-portées. On utilisait l’huile de coude pour tondre le gazon. On travaillait physiquement ; on n’avait pas besoin d’aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l’électricité.
On buvait de l’eau à la fontaine quand on avait soif. On n’utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter. On remplissait les stylos dans une bouteille d’encre au lieu d’acheter un nouveau stylo. On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations.
Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l’école à vélo ou à pied au lieu d’utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 H sur 24. Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d’une année sur l’autre, les crayons de couleurs, gommes, taille- crayon et autres accessoires duraient tant qu’ils pouvaient. Pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan !.
On n’avait qu’une prise de courant par pièce et pas de bandes multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d’aujourd’hui.
On se contentait, en étant tous dans la pièce commune, de faire des jeux, d’écouter des histoires ou d’écouter la seule radio de la famille.
Tout ce qu’on regrette, c’est de ne pas avoir eu assez tôt la pilule…. »
Auteur anonyme.
Alors, oui, le progrès a apporté aussi son lot positif mais avouons qu’à ce jour, quand on lit ce genre de texte, un sent en nous comme un courant de vent frais qui vient nous caresser l’esprit et nous apporte quelques regrets….
Et quand on fait un bilan avant après, on se rend compte que le bonheur peut se trouver dans l une ou l’autre de ces périodes en fonction de comment on les vit….
Le bonheur n’est pas qu’à l’extérieur de nous. On peut se sentir toujours heureux si on va le chercher à l’intérieur.
Soyeux heureux et vivons simplement et légèrement. La Vie n’est qu’un jeu. Restons l’enfant qui est au fond de nous et sachons puiser ce bonheur que cet enfant sait si bien capter….