Magazine

SANTE : LA NATUROPATHIE ET LES CANCERS

  |   médecines et médecines douces, Santé   |   Pas de commentaire

La Naturopathie préventive et curative des CANCERS

La naturopathie, définie par l’OMS comme étant la « MEDECINE TRADITIONNELLE OCCIDENTALE » Comment garder ou retrouver la santé par la nutrition, les traitements naturels. Mais surtout RECHERCHER LES CAUSES DES PATHOLOGIES. Aujourd’hui, les cancers progressent de 1,1% par année chez les enfants. Dans les années 30, un seul enfant cancéreux était recensé (Jacques Michaud). Donc, comment a-t-on pu en arriver là ???????

Analyse des différents types de cancers.

 A- Les cancers ayant des causes connues.

 -Tabac, alcool, maladies professionnelles

-Produits phytosanitaires

Les pesticides, fongicides, herbicides… ont une action ostrogénique. Plusieurs études, dont l’INSERM, indiquent un lien entre pathologies cancéreuses et pesticides.

La DGCCRF (Direction générale de la concurrence et de la répression des fraudes)

montre que les taux résiduels de pesticides est de:   45 % en 2006   –   52 % en 2007.       

70 % pour les fruits et 41 % pour les légumes.

-Téléphones portables, antennes relais, ELF, Wifi. Des études épidémiologiques ont montré la relation entre téléphone portable et tumeurs cérébrales. La toxicité des ELF (Extremly Low Fréquencies) est reconnue officiellement par l’OMS depuis 1998.

Les ELF ont fait l’objet d’une publication les classant comme source cancérigène pour l’homme. L’implantation d’antennes sur les châteaux d’eau expose l’eau à une perturbation due aux ondes. Une étude récente publiée dans le « Journal of electromagnetic biology and medecine » (2003) montre que cette eau entraîne une perturbation des cellules sanguines : Plaquettes, lymphocytes et monocytes

-Les vitamines de synthèse (C, E, B6, B12, B15, A, etc…). Fabriquées en usine on nous les présente comme 100% naturelles car véhiculées sur une base organique (levure, germes de blé, son de riz, pollen).

En réalité elle sont issues des plus hautes technologies de la chimie (quand il est mentionné une posologie c’est obligatoirement de la chimie).

Utilisées au long court, ces vitamines et minéraux de synthèse entraînent un énorme travail d’élimination de cette chimie. Ce survoltage de l’organisme est ressenti comme un surcroît de vitalité, mais, après quelques années, il est suivi de problèmes pouvant être gravissimes.

 Voir les travaux du Pr Leriche dans son ouvrage Cancérologie (p. 41) : « Dans une série d’animaux carencés en vitamines, un seul animal a développé une tumeur après 15 applications de méthylcholantrène. Dans une autre série ou tous les animaux badigeonnés étaient soumis à un régime additionnel d’une spécialité contenant toutes les vitamines, la totalité des animaux a développé des tumeurs.

 Le journal « NEW ENGLAND JOURNAL OF MEDICINE » a publié des rapports alarmants sur les effets des vitamines E et A de synthèse (étude sur 29 000 fumeurs). Elles augmentent les risques de cancer du poumon de 18% chez les fumeurs supplémentés par rapport au groupe témoin. David De Mets, statistician à l’université de Wisconsin dit : “Les resultats sont inquiétants.

-Les sodas. Corrélation entre la consommation de sodas et celle du cancer de l’œsophage. Démontrée par des chercheurs indiens lors d’un congrès réunissant les experts mondiaux des maladies gastro-intestinales. Ces  boissons distendent l’estomac, entraînant un reflux gastrique, une des principales cause de ce cancer. De plus, ils contiennent 150 grammes de sucre par litre.

-Four à micro-ondes. La conversion des acides aminés de forme Trans en forme Cis, qui ne semble pas anodine sur le plan immunitaire. La transformation de la L. Proline en D. Proline la rend neurotoxique, néphrotoxique et hépatotoxique. Travaux du Pr LUBEC (The Lancet du 31 Mars 1990)

-Cuisson haute température. Le Dr Jean SEIGNALET dans « l’alimentation ou la troisième médecine », démontre les effets nocifs de la cuisson au-dessus de 110° ce qui transforme un grand nombre de molécules dont certaines deviennent toxiques et

cancérigènes.

-Tampons périodiques : Beaucoup utilisent la rayonne et du coton blanchit au chlore, ce qui forme ainsi de la DIOXINE  lors de la production du papier. La dioxine est la substance de synthèse la plus toxique jamais étudiée et ses effets sur la santé des femmes incluent :l’endométriose et des changements hormonaux. On a trouvé des filaments de fibres de tampons dans les muqueuses vaginales, et certains chercheurs feraient un lien avec le cancer du col de l’utérus.

B- Les cancers hormono-dépendants.

-Les déodorants corporels au Parabène : causes directes de cancers du sein. Selon les travaux du Pr Philippa DARBER de l’université de Reading, Publié par « le journal of applied toxicology » Le parabène peut imiter le comportement des œstrogènes connus pour jouer un rôle dans cette pathologie.

Dans 60% des cancers du sein, la tumeur se développe au point de rencontre du sein et de l’aisselle.

-Les THS (traitements hormonaux substitutifs) Le THS de la ménopause est officiellement un échec. L’interruption à mi-parcours d’une vaste étude américaine WOMEN’S HEALTH INITIATIVE en a sonné le glas :

        •26% d’augmentation du cancer du sein

        •29% d’augmentation du risque de crise cardiaque

        •41% d’augmentation du risque d’accidents vasculaires cérébraux

Le journal Le Lancet  vient de publier les résultats d’une enquête MILLION WOMAN STUDY, qui démontre le rapport entre le THS et le cancer du sein, quel que soit le mode

-Le soutien gorge (cancer du sein) Les effets constricteurs du soutien-gorge, en freinant la circulation du système lymphatique, peuvent déclencher une accumulation de toxiques dans les tissus mammaires, créant un terrain idéal pour le cancer.

L’étude réalisée montre que le cancer du sein est 125 fois plus élevé chez les femmes qui portent leur soutien-gorge 24H/24 que celles qui n’en portent jamais et 113 fois plus élevé pour celles qui le portent moins de 12 Heures. (source : Sydney Ross Singer)

-Le lait Les produits laitiers semblent activer l’élaboration des œstrogènes chez la femme, contribuant ainsi à la genèse des mastoses, kystes ovariens, fibromes et cancers hormono-dépendants. Les observations du Dr NOGIER nous montrent la rareté de ces pathologies chez les Japonaises STRESSEES mais peu consommatrices de produits laitiers. Par contre, grande fréquence de ces pathologies chez les Hawaïennes NON STRESSEES mais grandes consommatrices de lait.«  Répète un mensonge indéfiniment et il devient vérité »

-Le soja. Le soja contient énormément de phyto-œstrogènes qui sont des perturbateurs hormonaux favorisant le développement des cancers hormono-dépendants. Ceci a été démontré lors du récent colloque « OCTOBRE ROSE » organisé au Sénat de Paris sur le cancer du sein et révélé par Jean Marie BOURRE, membre de l’académie de médecine. Le Dr Mary G.ENIG du Maryland a déclaré : «  Un bébé nourrit au lait maternisé à base de soja reçoit l’équivalent de 5 pilules contraceptives par jour » De plus le soja contient de 180 à 240 mg de purines et les sauces au soja fermenté peuvent contenir jusqu’à 15% d’ammoniac toxique pour les neurones. Le soja est carencé en METHIONINE donc inapte à remplacer la protéine animale.

 C- 80 % des cancers restants touchent le tube digestif et ses annexes.

On sait que les cancéreux ont un tube digestif en très mauvais état et souffrent d’une

grande fermento-putrescence  intestinale. Nous sommes donc au cœur des problèmes dus à l’alimentation avec comme facteur principal. L’INDIGESTION CHRONIQUE

-Quelle alimentation pour l’être omnivore ? L’être humain a donc besoin d’un minimum de 2 repas par jour composés de 3 aliments INDISOCIABLES et d’un condiment : Les crudités avec une huile de 1e pression à froid BIO, Un glucide (sucre), Une protéine d’origine animale

a/ les crudités légumes (vitamines, minéraux, fibres, enzymes). À l’état frais et cru, par exemple : Salades, endives, radis (rouge, blanc, noir), carottes râpées, céleri rave râpé, betterave crue râpée, etc. Ils nous apportent les vitamines, les minéraux, les fibres et les enzymes. Accompagné d’un mélange de 60% d’huile de COLZA et de 40% d’huile d’olive. Une insuffisance entraîne :      constipation, carence minérale et vitaminique. Un excès entraîne :     dilatation des « poches digestives », ballonnements, diarrhées, gastroentérocolites.

b/les protéines (notre matériau de construction). Recommandations de l’OMS : 1 gr/ Kg corporel. Viande, volailles, poisson, œufs, fruits de mer. Les protéines servent à l’édification de nos cellules et de nos tissus. C’EST NOTRE MATERIAU DE CONSTRUCTION. Elles interviennent aussi dans la REPONSE IMMUNITAIRE grâce aux immunoglobulines (anticorps). La rougeole est mortelle dans des populations africaines n’ayant aucune protéine animale dans leur alimentation. Avec de la poudre d’œuf : cette pathologie redevient une maladie bénigne comme en France.

Théorie de la complémentarité céréales / légumineuses :Les céréales sont souvent carencées en lysine, isoleucine, thréonine. Les légumineuses sont généralement carencées en méthionine, cystine, tryptophane. Dans cette association, si un seul aminoacide n’est apporté qu’à 30% des besoins, tous les autres ne pourront aussi être utilisé qu’à 30% . C’est la LOI DU MINIMUM. De plus, ces aminoacides végétaux sont enfermés dans un contexte fibreux extrêmement dense et leur extraction par le tube digestif humain est difficile. Il ne faut pas oublier la SURCHARGE GLUCIDIQUE.

Pourquoi doivent-elles être présentes aux 2 principaux repas ? Si un individu mange 300 gr de viande le midi, il utilisera les 100 à 150 gr dont il a besoin. L’excèdent sera transformé en urée, acide urique et éliminé par les voies urinaires. LA PROTEINE NE SE STOCKE PAS. Donc, toutes les cellules qui « vont mourir » dans l’après-midi et la nuit ne seront pas renouvelées avant le prochain aliment protéiné. Une insuffisance entraîne :      l’anémie, l’ostéoporose, l’impuissance, la frigidité, la stérilité, la fonte musculaire, la CHUTE IMMUNITAIRE. Cela entraîne également une carence totale en D3, en B12, carence en acide folique et en fer. Un excès entraîne :     l’urémie, l’hypertension, la dilatation du cœur gauche, la lithiase urique. Les graisses saturées contenues dans les protéines apportent de la vitamine A et D3. La cellule humaine combure du glucose mais aussi des acides gras saturés notamment lors d’efforts musculaires d’endurance. Le FRENCH PARADOXE (Mythe cholestérol) Les graisses de coprah et de palme sont hautement indigestes et sont responsables  :de digestions difficiles, de troubles hépatiques, de dermatoses et de catarrhes.

c/les glucides (déclencheur de l’insuline et de l’anabolisme protidique) Pain, pâtes, riz, millet, quinoa, pommes de terre….. desserts sucrés. Besoin impératif de 50 grammes minimum par repas. Ce sont les « sucres » qui donnent le signal au pancréas de fabriquer l’insuline bien connue pour métaboliser les glucides. Mais c’est surtout l’hormone de L’ANABOLISME PROTIDIQUE qui permet la pénétration membranaire des aminoacides nés de la digestion des protéines. En l’absence « d’un sucre », il n’y a donc plus production d’insuline mais de GLUCAGON. Le glucagon active la néo glycogénèse hépatique. Transformation de la protéine en glucose au niveau du foie.

Nous nous retrouvons en présence de la malnutrition protéique malgré un apport correct. Travaux de C. TCHOBROUTSKY et B. GUY-GRAND (Flammarion Médecine)

Un dessert en fin de repas ne peut créer un pic de glycémie. Le PH stomacal est monté à 5 (digestion de la protéine) Le sucre se digérant à PH 2, il mettra donc plusieurs heures pour passer dans le sang. Une fois de plus, la gastronomie est en accord avec la santé Une insuffisance entraîne :      l’amaigrissement, la fatigue, l’inversion du rapport insuline/glucagon. Un excès entraîne :     fermentation acide excessive, hémogliase, obésité, diabète.

d/Il y a 4 sortes de fruits : Les oléagineux : amandes, cajous, pistaches, noix, noisettes Riches en minéraux et acides gras essentiels. Les amylacés : bananes, châtaignes. Ne peuvent se mélanger à d’autres aliments car ils produiraient la mal digestion. Les fruits secs :figues, dattes, abricots secs, pruneaux, etc. Ne peuvent se mélanger à d’autres aliments car ils produiraient la mal digestion. Par contre, riches en potassium, ils permettent l’équilibre de la POMPE SODIUM/POTASSIUM, véritable orchestre de la respiration cellulaire avec le manganèse. Les fruits aqueux :tomates, pommes, pêches, prunes, oranges, ananas, etc. Ils contiennent beaucoup d’eau, de la vitamine C, quelques vitamines B mais par contre une quantité importante d’ACIDE CITRIQUE, TARTRIQUE, MALIQUE. Que se passe-t’il pour un individu frileux quand il fait froid ? Il donne ses bases minérales pour les mélanger aux acides. Les enfants font l’hiver des infections ORL et respiratoires non-stop car l’organisme éliminera les acides non oxydés par les muqueuses. Que se passe-t’il pour un individu résistant bien au froid dit de « type sanguin » ? Les acides sont parfaitement oxydés sans être le vecteur d’aucune nuisance et sont donc des fluidifiants précieux.

ATTENTION Un bébé de 5 Kg recevant un biberon de jus de fruits correspond à 1 litre ½ pour un adulte de 75 Kg. Les parents ne doivent donc pas s’étonner des conséquences : Diarrhées, cris, insomnies, toux et infections non-stop. Une insuffisance entraîne :      hémogliase, carences vitaminiques, constipation. Un excès entraîne :     déminéralisation, caries, hypotension, sécheresse de la peau, hyperthyroïdie, maladies ORL. Ne jamais consommer de fruits pendant les 3 principaux repas. Ils restent dans l’estomac pendant 3 à 5 heures chez l’enfant, 4 à 6 heures chez l’adulte. N’étant pas digérés dans le milieu gastrique, ils fermentent et cela produit des gaz qui inhibent la digestion et surélèvent le diaphragme. L’afflux de sang ou hyperémie, au niveau de la muqueuse gastrique, peut s’étendre aux bronches qui deviennent hyper sensibles aux allergènes ou hyper sécrétantes.

L’activation de la division cellulaire, autre cause de cancérisation

Chaque être humain naît avec une programmation déterminée de divisions cellulaires au-delà de laquelle il meurt. Il est donc aisé de comprendre qu’une cellule agressée en permanence pendant des décennies accélère ces divisions cellulaires et raccourci la vie.

le grignotage. Complexe migrant inter digestif (CMI) Déplace un flux de liquide qui peut atteindre 1,25 ml à la minute. L’intestin desquame 250 g de cellules par jour. Or cet organe se renouvelle tous les 3 ou 4 jours. Donc le grignotage sollicite à l’extrême le tube digestif et entraîne donc le renouvellement hyper accéléré de ses cellules.

Ce processus augmente les mutations de l’ADN, ce qui est la cause primordiale de la cancérisation du grêle et du colon.

la suralimentation. Tout excès d’un aliment va entraîner de la part de l’organe le plus impliqué dans son métabolisme, une sur activité, donc une usure cellulaire accélérée.

Aucun toxique n’est cancérigène en deçà d’un certain seuil. Tout aliment est cancérigène au-delà d’une certaine quantité

 les aliments indigestes Les sirupeux : sirops, sodas, hydromel, miel, Le café au lait

Les céréales crues, les mueslis, Les fruits aqueux pris aux repas, Les yaourts, fromages blancs, Les charcuteries non bio, Les pains à plusieurs céréales

Les fermentations qu’ils engendrent perturbent aussi le renouvellement cellulaire.

EXEMPLE DE LA LEUCEMIE Le taux normal de leucocytes est de 6000 à 8000 / mm3 de sang. Lorsque l’alimentation est malsaine et indigeste, il passe à 20 000 et plus / mm3 pendant les périodes digestives. Il s’agit d’un mécanisme de défense contre les toxiques ingérés et les poisons intestinaux. Répétée 365 jours / an, la leucémie s’installe progressivement.

Pour se développer, les cellules cancéreuses ont besoin de POLYAMINES. Le Professeur Jacques Philippe MOULINOUX a mis au point un programme nutritionnel bannissant ces polyamines et permettant ainsi de réduire la progression

du cancer.

 Prévention des cancers. Incontestablement, des éléments cancérogènes existent dans l’air respiré, dans les aliments et dans les boissons.

L’homme est constitué de dix mille milliards de cellules. Chaque jour meurent et se renouvellent cent milliards de cellules. Sur ces cent milliards, cent millions naissent anormales. Seul un système immunitaire puissant peut reconnaître et détruire ces cellules.

Garder ou retrouver un système immunitaire puissant.

garder un bon équilibre acido-basique. Quand il y a pas ou peu d’activité physique, il sera conseillé de diminuer la quantité de « sucres » (minimum 50 g) et d’ajouter au plat protéique des légumes verts cuits (alcalinisant). Cette alimentation convient très bien aux personnes désirant maîtriser leur poids (dans le respect de leur physiologie)

Conseillé également dans le cas de transit lent (constipation).

l’activité physique. Nécessité de pratiquer une activité sportive régulière jusqu’à la sudation. L’hyperthermie qui suractive le système réticulo-endothélial capable de détruire, dans ces conditions, les cellules cancéreuses. L’amélioration des capacités digestives, donc réduction des poisons intestinaux. La combustion des calories souvent excédentaires.

les transferts morbides. Dans les cas d’intoxication ou d’intoxination, les émonctoires (foie, intestins, reins, peau, poumons) sont dépassés dans leurs possibilités éliminatoires. Donc, l’intelligence somatique va créer des « maladies soupapes » qui sont DES MALADIES PROTECTRICES DE LA VIE. Une pommade sur un eczéma ou un « asséchant » sur une bronchite non-infectueuse va refouler à l’intérieur ces toxines créant ainsi DES MALADIES DEGENERATRICES DE LA VIE

les carences en oligo-éléments, vitamines et minéraux.

L’agriculture intensive produit des aliments carencés en oligo-éléments et en vitamines. L’industrie, par raffinage excessif, soustrait encore des minéraux, des oligo-éléments et des vitamines à ces aliments déjà carencés.

Ces carences vont entraîner des perturbations dans tous les métabolismes.

Diète et Jeûne Lors d’un jeûne, l’organisme, pour subvenir à ses besoins, va déclencher des autolyses de tissus non essentiels à la vie (épanchements, tumeurs, kystes, tissus sclérosés, etc.) Il est préférable de passer par des centres spécialisés pour jeûner. Par contre, 1 jour de diète à la soupe de légumes/pommes de terre toutes les 2 ou 4 semaines permet un excellent nettoyage intestinal. Si maladie bénigne (type rhume), le repos + une diète de 2 ou 3 jours sera profitable.

La géobiologie de son lieu de vie.

 Dans le cas de pathologie lourde, il EST IMPERATIF de faire expertiser son lieu de vie

pour détecter les diverses pollutions souterraines néfastes à la santé (cours d’eau, faille, réseau Curie)

Quelle eau boire, dans quelle quantité et à quels moments.

Quelle eau boire ?

àUne eau peu minéralisée (Eau osmosé, Volvic, Mont roucous)   Voir les travaux du Pr Louis Claude VINCENT

àDans quelques rares cas de carences minérales et d’ostéoporose importante, des

eaux minéralisées (Vittel, Hépar, Contrex) peuvent être conseillées.

IMPORTANT Ces eaux doivent être vitalisées

Quelle quantité d’eau boire ? Le besoin en eau est différent entre une femme mesurant 1m50 et pesant 45 Kg (ne transpirant que très peu), et un homme de type sanguin de 110 K (transpirant au moindre effort). Pour un individu buvant SANS SOIF, il peut augmenter sa volémie de 20% Au bout de 10 ans : 5 millions de litres de sang propulsés inutilement IL EST NECESSAIRE DE BOIRE A SA SOIF

A quel moment boire ?

Aux repas (pendant ou en fin) : La quantité d’eau ingérée modérément sera prise en compte dans la digestion (sucs digestifs)

2 heures après le repas : Le liquide ingéré va diluer les sucs digestifs perturbant ainsi la digestion.

Vers 11H et 18H : L’estomac sera vide, donc s’il y a soif, cette eau sera bénéfique

En complément de la médecine, quels sont les traitements naturels démontrés ?

Les alkyls glycérols.

Étude réalisée entre 1952 et 1986 par « l’institut de radiologie du KAROLINSKA

 INSTITUTE » Les alkyl glycérols ont une action sur la chute des plaquettes et des globules blancs durant les radiothérapies : Elles réduisent environ 60% les brûlures et lésions secondaires. C’est un adjuvant naturel très utile à la radiothérapie, sans effet secondaire ni de toxicité. Il en est de même pour la chimiothérapie. Renforcement des défenses immunitaires. Propriétés anti-tumoral (PEDRONO et son équipe)

la bromélaîne.

La cellule cancéreuse, pour ne pas être détruite par le système immunitaire, s’enveloppe d’une couche mucoïde protectrice. La bromélaïne, extraite de la tige de l’ananas, a la particularité de dissoudre ce « bouclier » et donc d’affaiblir les cellules malignes.

les ARN fragments Beljanski.

Ce sont des poly nucléotides extraits de l’ARN E. Coli qui sont des amorceurs de là multiplication des cellules souches de la moelle osseuse (principalement celle des plaquettes et des leucocytes). Sous chimiothérapie à haute dose, à la limite de l’aplasie, ils permettent aux patients de reconstituer leur population de globules blancs en 3 jours (Institut Mérieux 1978). Ils sont aussi des radio protecteurs très puissants, en protégeant la structure primaire des ADN irradiés.


l’extrait de ginkgo Beljanski.

Il est proposé pour lutter contre les dommages causés au tissu conjonctif et lymphoïde par les rayons. (Pr L. ISRAEL en 1989) Il est inhibiteur des radicaux libres et d’enzymes (ribonucléases et collagènases) C’est un « anti-fibrose »

l’extrait de pao pereira et de rauwolfia Beljanski.

Ce sont 2 alcaloïdes (la flavopereirine et l’alstonine) qui se fixent sur les bases puriques des ADN déstabilisés pour en renforcer la structure secondaire. La cellule pré cancéreuse ou cancéreuse possède un ADN dont la double hélice est plus lâche que celle d’un ADN sain. Les alcaloïdes du Pao et du Rauwol pénètrent la partie de l’hélice anormale et s’y fixe. Les cellules ainsi bloquées meurent. Cette action est sélective car le produit ne pénètre pas dans une cellule saine. C’est une chimio naturelle sans effet secondaire

 DIAPORAMA DE LA CONFÉRENCE     Lien 

YVES CASSARD

Pas de commentaires

Ajouter un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.