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EVENEMENT : POUR LA RENTREE, UN BILAN DE COMPETENCE ?

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POUR LA RENTREE : BILAN DE COMPETENCE

 

« La vie est une mission, pas une carrière », Stephen R. Covey.

Cette citation représente l’importance de vivre selon ses valeurs, et dans le domaine professionnel notamment, trouver un métier en phase avec celles-ci est la clé de l’épanouissement. C’est ce qu’affirme Emeric Lebreton, Docteur en psychologie et cofondateur d’Orientaction, leader de l’accompagnement des évolutions professionnelles. 

 

Depuis les années 1950, une révolution psychologique sans précédent a eu lieu. Celle-ci a mis fin à des millénaires de déterminisme, par exemple au niveau de la profession. Chaque être humain a la possibilité de choisir le but de son existence. Cependant, comment faire les bons choix ? 

 

Le bilan de compétence, outil pour faire les bons choix
 

Pendant une dizaine d’années, Emeric Lebreton a ausculté les choix des individus, et a pris conscience de la nécessité de développer une méthode pour aider les êtres humains à être en adéquation avec eux-mêmes. Et cela passe par la connaissance de ses valeurs, de ses besoins, de sa personnalité mais aussi de ses talents. Le bilan de compétences a la particularité de fournir des outils concrets pour mesurer ces critères, et engendre des effets très positifs sur la vie des individus, comme le démontre l’enquête 2023 menée par le cabinet Asterès auprès de 633 personnes ayant bénéficiées de l’accompagnement du groupe Orientaction. 

 

Celle-ci révèle que les personnes qui avaient utilisé la méthode ORIENTACTION dans un cadre professionnel pour définir un nouveau projet professionnel avait obtenu les résultats suivants –  et cela sans pour autant changer de métier ou d’entreprise : 

  • Le niveau de satisfaction professionnelle augmentait de 71%, 
  • Le niveau de stress diminuait de 37%,
  • Le niveau d’épuisement professionnel diminuait de 38%,
  • L’adéquation emploi-compétences augmentait de 17%,
  • L’accord entre valeurs et emploi augmentait de 56%,
  • L’estime de soi augmentait de 48%. 

 

Par ailleurs pour ces mêmes personnes : 

  • L’exposition à des conflits avec leur hiérarchie passait de 34% à 5%,
  • Leur chance de rencontrer une situation d’isolement professionnel passait de 16% à 4%,
  • La qualité de leurs rapports avec les collègues passait de 69% à 91%,
  • L’exposition à des comportements hostiles ou à des violences dans un cadre professionnel passaient respectivement de 30% à 8% et de 31% à 8%. 

Concrètement ce gain de « bonheur professionnel » se traduisait par une augmentation de la productivité comprise entre 28% et 49% et une baisse du nombre d’arrêts maladies de 19 jours en moyenne par an.

 

Clémentine Van Grunderbeek

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