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Le point G existe-t-il réellement ?

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Oui, affirme un gynécologue américain, qui prétend avoir découvert ce tant recherché endroit de la jouissance féminine…En disséquant le cadavre d’une femme octogénaire !
Un gynécologue américain affirme détenir une preuve anatomique de l’existence du fameux point G, lieu de l’orgasme féminin au sujet duquel tant de recherches contradictoires ont été menées depuis les années 1950, lorsqu’il a pour la première fait été évoqué par le docteur Ernst Gräfenberg.
Depuis 60 ans, la thématique est au centre de nombreux débats, et les technologies de notre époque continuent de faire alterner les dires de ceux qui en affirment l’existence, et les autres qui l’infirment (en janvier 2010, et 2012), faute de « preuves fortes et consistantes »
Mais pour le professeur Adam Ostrzenski, de l’Institut de gynécologie de Saint Petersburg, en Floride, le point G est réel. Il détaille ses travaux dans le Journal of Sexual Medicine et explique avoir fait cette découverte lors de l’autopsie du cadavre d’une Polonaise âgée de 83 ans.
 
Le mystérieux point G mesurerait à peine 8 millimètres de long, 1,5 à 3,6 millimètres de large, et ne serait épais que de 0,4 millimètres, indique le chercheur. La petite structure anatomique se situerait sur la paroi antérieure du vagin, et plus précisément sur « la membrane périnéale, à 16,5 mm de la partie supérieure du méat urétral, faisant un angle de 35 degré avec le bord latéral de l’urètre ». Elle est décrite comme un tissu irrégulier, innervé et très érectile, et sa découverte ouvre pour Adam Ostrzenski la voie à « une meilleure compréhension et une amélioration de la fonction sexuelle des femmes ».
Cette étude mettra-t-elle fin à l’éternel débat sur l’existence du point G ? Rien n’est moins sûr.
 

Désormais, les utilisateurs américains et britanniques du réseau Facebook peuvent ajouter sur leur profil le statut « donneur d’organe ». Une initiative lancée par la firme de Mark Zuckerberg pour encourager le don d’organe et mettre en contact les donneurs avec les patients en attente de transplantation.

 »Aux Etats-Unis aujourd’hui, 114.000 personnes, et des millions d’autres à travers le monde sont dans l’attente d’un coeur, d’un rein ou d’un foie qui leur sauvera la vie ». D’après des chiffres de l’ONG Donate Life America, ce sont ainsi quelque 18 personnes qui mourraient chaque jour pour ne pas avoir reçu de transplantation à temps. Une cause qu’a aujourd’hui décidée de défendre le réseau social Facebook en offrant la possibilité à ses utilisateurs d’indiquer s’ils sont donneurs d’organes.
 


 »Nous pensons que tout le monde peut participer à la prise de conscience de (l’importance) du don d’organes. Cela peut contribuer à résoudre la crise » que rencontre le don d’organes, a expliqué à la chaine ABC Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook qui a été le premier à cocher le statut « donneur d’organes » sur son profil. Il a ainsi invité les utilisateurs vivant aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, les deux seuls pays où le statut est aujourd’hui disponible, de l’imiter et de se déclarer donneur d’organes, tout en expliquant leur décision à leurs amis.

Plus qu’un simple statut, cette initiative vise non seulement à encourager le don d’organes mais aussi à mettre en contact les donneurs avec les patients en attente de transplantation. Pour cela, des liens redirigent vers les registres de donneurs d’organes officiels et permettent ainsi aux utilisateurs qui le souhaitent de s’inscrire. « Nous voulons rendre les choses simples.
 
Vous n’avez qu’à indiquer le pays ou l’Etat dans lequel vous habitez, et nous vous redirigeons vers les registres » de donneurs d’organes, a souligné le PDG de Facebook.

 »Des milliers de vies vont être sauvées grâce à cette initiative »

Celui-ci a également expliqué que l’idée lui était venue lors de conversations avec sa petite amie, actuellement étudiante en médecine et qui souhaite devenir pédiatre. L’état de certains des jeunes patients qu’elle soigne « empire parce qu’ils ne reçoivent pas la greffe dont ils ont besoin », a raconté Mark Zuckerberg qui a également parlé de son ami Steve Jobs.
 
Le co-fondateur d’Apple décédé l’an dernier d’un cancer du pancréas à 56 ans, avait reçu une greffe du foie en 2009. « Son histoire n’en est qu’une parmi tant d’autres, celle de quelqu’un qui a reçu une greffe qui a prolongé sa vie. Il en était très reconnaissant », a confié le PDG de Facebook.

De son côté, Donate Life America s’est félicitée de l’initiative de Facebook, notamment au vu des 901 millions d’utilisateurs que le réseau revendique à travers le monde. « Nous ne saurions être plus reconnaissants envers Facebook pour son engagement à aider à sauver des vies en incitant les Américains à s’inscrire comme donneurs d’organes (…). Des milliers de vies vont être sauvées grâce à cette initiative », a estimé David Fleming, président de l’ONG.
 

Source : www.maxisciences.com

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