HISTOIRES DE CIVILISATIONS PERDUES
Véronique Kerdranvat, c’est, tout d’abord, une femme « extra ordinaire « , et ensuite, elle est douée pour nous raconter des expériences ou des vécus réels (bien que pas ou peu encore acceptés par la science….(sic….) ) Elle peut nous parler d’extra terrestres, de phénomènes inexpliqués ou même de civilisations perdues…
Ce mois, elle nous emmène sur les traces de civilisations disparues… Suivons là avec plaisir !
N’oubliez pas de lire ses livres très intéressants et très instructifs si vous aimez ces mondes étranges mais pourtant bien existants… Non, nous ne sommes pas seuls !!! (tepaseul…)
Ses livres sont
Fréquence Vérités ou les Enseignements de la 5ème dimension Editions Vie
Mémoires d’une Bigoudène ou les secrets des Anciens Editions Montagnes Noires
La Druidesse du Pays Bigouden ou L’héritage des Atlantes Noïa Editions
Les secrets des souterrains en Armoriques et dans le Monde Noïa Editions
Fort Intérieur recueil de poésies Noïa Editions
Les voyages de Véronique Kerdranvat sur les traces des civilisations disparues...
« J’ai été amenée, au gré de mes voyages, sur des sites exceptionnels tous témoins d’une civilisation disparue. Des villes fantômes qui m’ont ouvert les portes des archives akashiques grâce à des vibrations qui sont entrées en résonance avec mon âme et se sont, ensuite, ajustées avec mes propres vibrations. Cette équation qantique m’a délivrée, inconsciemment, au début, ce que je prenais pour des intuitions, mais, qui étaient, en fait, des bribes d’informations concernant ces Terres sur lesquelles avaient vécu des Etres d’une grande intelligence. Des peuples qui savaient se servir des énergies, de la télépathie, de la téléportation. Des peuples qui connaissaient les mathématiques, la géométrie, l’astronomie, l’art de la trépanation,(…) ces peuples qui savaient déjà voyager dans l’espace. Ces connaissances communes à plusieurs peuples, éloignés les uns des autres, m’ont convaincue, de jour en jour, qu’ils avaient, sans aucun doute, les mêmes racines, les mêmes Ancêtres. Ils étaient les héritiers de l’Hyperborée, cette Terre légendaire située tout au Nord près de l’Arctique, disparue depuis des millions d’années.
Mais, au fil de mes périples, j’obtenais des certitudes, des évidences qui me prouvaient que ces Ancêtres qui avaient survécus s’étaient réfugiés, petit à petit, vers les plaines du Danube, du Caucase, puis dans la vallée de l’Indus où ils fondèrent les cités Harappa et Mohenjo-Daro, et enfin plus au sud en Mésopotamie, la civilisation Sumérienne (…) D’autres anciennes civilisations, héritière de la Lémurie, continent englouti dans l’océan Indien, ou du désert de Gobi avaient, aussi, abandonné derrière elles des témoignages de notre riche passé.(…)
Tous ces survivants n’avaient pas immigré vers la vallée de l’Indus mais certains d’entre eux avaient, probablement, traversé le détroit de Béring et vécu sur le continent américain où des nombreuses traces de leur culture s’y trouve encore…
Toutes ces preuves ont été retrouvées pour la plupart inscrites dans la pierre, sur des tablettes d’argiles ou dans la configuration des vestiges architecturaux comme toutes ces nombreuses pyramides érigées sur tous les continents. En effet, aussi surprenant que cela puisse paraître, elles ne se dressent pas seulement en Egypte, au Mexique ou au Guatemala mais aussi en Chine, en Indonésie sur l’île de Java, sur les îles Cannarie, au Niger et dans d’autres pays que j’évoquerai plus tard…
Des signes inéluctables, qui nous prouvent que ces peuples utilisaient des technologies pointues, ont été retrouvés sur des bas-reliefs en Inde, ou dans la littérature Védique sous la représentation de vimanas ressemblants étrangement à des vaisseaux spaciaux.(…) En Bolivie, aussi, le site archéologique de Puma Punku laisse planer un mystère sur sa muraille constituée d’énormes blocs de pierres en granit, emboîtés parfaitement, ciselés comme s’ils avaient été taillés au laser.
D’autres indices intriguent les chercheurs de vérités. Que signifient ces hiéroglyphes ou ces peintures rupestres représentants des cosmonautes ou des extra-terrestres, aux grand yeux, qu’on peut observer dans diverses grottes en Australie, dans le Sahara, en Equateur ou en Inde encore ?
Au Mexique, aussi, certains bas-reliefs nous interpellent tel le personnage casqué dans un astronef que l’on peut admirer sur le site de la pyramide de Palenque.
Les moais de l’île de Pâques sont-ils la preuve que des géants ont peuplé la Terre ? Et, tous ces squelettes immenses qui sont déterrés par les archéologues en Roumanie, en Inde ou dans différentes contrées du monde ? Ne les retrouve-t-on pas, aussi, dans la légende irlandaise des Partholoniens et des Fomoires retraçant le combat des Géants des mers ?(…)
Car non seulement, on possède des preuves irréfutables de ces différentes civilisations lors des fouilles archéologiques mais aussi dans les légendes à travers le monde. Ces contes transmis oralement au fil des générations relatent des évènements communs à la planète entière. Sur tous les continents on se rappelle de ces » Etres descendus des étoiles pour apporter la Connaissances »(…)
Les menhirs et les dalles des tumulus, gravées de mystérieuses spirales, représentant la carte du ciel ou des vortex, prouvent l’existence d’une civilisation avancée proche des étoiles. (…) Des peuples qui connaissaient l’astronomie, le nombre d’or, un peuple aux antipode de la théorie de Darwin qui fait croire dans les livres d’Histoire que nous sommes les descendants des singes qui se sont redressés sur leur deux jambes au fil des ans. Absurdité sans nom et c’est cette absurdité qui est aujourd’hui ancrée chez la plupart des humains : une évidence impossible à dénier jusqu’à preuve du contraire ! Preuves que les chercheurs de vérités tentent de démontrer jour après jour.
Mais, d’où vient cette incroyable soif de vérités qui lance, aujourd’hui, ces hommes et ces femmes dans une course effrénée ? Seraient-ce les extra-terrestres, eux-même, qui admettent que l’Humain est enfin prêt a accepter la vérité sur ses véritables origines ? Prêts à casser le schéma de sa frise historique telle qu’elle était programmée et enseignée depuis des siècles ?
Oui, je pense que les extra-terrestres m’ont conduite vers ces sites témoins d’une civilisation avancée.
A l’âge de vingt-cinq, aspirée dans le tourbillon de ma quête de vérités, j’avais déjà parcouru tous les continents, foulé les sites archéologiques, caressé ces vieilles pierres abandonnées témoins de ces civilisations disparues. Ces vestiges qui avaient été touchés par la main de l’homme, ces hommes qui avaient laissé leur sueur, leur empreinte génétique, leur mémoire cellulaire, leur Histoire.
Je suis née en Bretagne, au Pays Bigouden, sur une Terre sacrée. Une Terre imprégnée de mystères. Une Terre où j’ai ressenti, pour la première fois, ce contact avec notre passé. Une Terre qui ne sait pas encore expliquer ses mégalithes, ces mystérieuses pierres dressées qu’on appelle menhir pierre longue en breton, ses centaines de souterrains dont je sais, en mon for intérieur, qu’ils sont la clé de notre Histoire encore interdite à ce jour. Une Terre qui témoigne d’une civilisation très ancienne, où reposent, comme au Pérou, ou au Pakistan des crânes trépanés datant de milliers d’années, des actes chirurgicaux d’une précision incroyable (…)
Une Terre où se cachait une stèle gravée d’une swastika, à deux kilomètres de ma maison natale, ornée de figures géométriques (…)
Une Terre qui m’a bercée par ses légendes de serpents, de géants, de korrigans, d’île engloutie, de cheval volant, de rites magiques et de superstitions…(…)
Un héritage de nos lointains Ancêtres retiré de nos mains par l’ Eglise Catholique puis par les Maîtres du Monde. Un cadeau d’une valeur inestimable, parcelle de notre mémoire génétique et cellulaire, qui nous a été caché mais qui, grâce à mes anges, m’a été confiée, par petits bouts, au fil de ma vie. Chaque voyage, chaque contrée à travers le monde, m’a permis de faire le lien avec ces peuples disparus, nos Ancêtres, notre Histoire.
Ce besoin de délivrer ce que je savais par intuition ne cesse de m’habiter. Cette mission qui m’a conduite dès mes 17 ans en Turquie, à Malte, en Grèce, au Portugal, en Autriche, au Mexique, au Guatemala, en Amérique du Nord, à Cuba, en Inde, en Russie, le long du lac baïkal, en Mongolie dans le désert de Gobi, en Chine, au Cambodge, au Vietnam, au Laos, au Philippines, en Thailande, en Malaisie, à Bornéo, en Indonésie, en Australie, sur l’île de la Réunion, en Afrique, à Carthage, et (…) sur les traces de toutes ces anciennes cités disparues…Tous ces pays m’ont délivrée un message et ont révélé être un catalyseur d’énergie pour décupler mes connaissances intuitives et mes facultés extra-sensorielles. (…)
Ainsi, je me suis retrouvée en 1992, après une longue marche, guidée par des Esprits bienveillants, face à ce petit complexe architecturale des plus surprenant, logé dans un écrin de verdure entre palmiers et bananiers : le temple de Sukuh. Cette mystérieuse pyramide construite sur l’île de Java, en Indonésie, s’était-elle trompée de continent ? Ou était-elle la preuve qu’une civilisation ingénieuse avait vécu à différents endroits du globe ?
(…)
Mes pas m’ont guidée, plus tard, en Inde dans la mystérieuse cité d’Hampi à 7 heures de route de Goa, au sud de Mumbay. Cette ville, en ruine et peu connue, fût pourtant au XV ème siècle la plus grande ville du monde après Pékin. Je fus fascinée par son temple musical aux piliers magiques, d’où venait ce peuple au grand Savoir ? (…)
A l’est de l’Inde, près de Mahabalipuram, j’ai marché sur cette plage où les ruines d’un temple sortaient du sable sans que personne n’y prête attention. Imaginez mon bonheur d’apprendre vingt ans plus tard qu’ une cité engloutie venait d’être découverte au large de cette région. Une cité qui avait dû être témoin d’un monde moderne et d’un inéluctable cataclysme.
L’année suivante, je me retrouvais au Cambodge dans la merveilleuse cité d’Angkor. Une petite dame me prit la main et m’entraina dans une cavité insoupçonnée où se déroulait une cérémonie, loin des regards des touristes. Dans cette salle souterraine des gens, agenouillés à même le sol rocailleux, priaient une Déesse.(…)
Je réalisais, plus tard, que la plupart de ces temples, pyramides et souterrains étaient tous placés sur le réseau sacré, sur des vortex ou sur une cheminée cosmo-tellurique.(…)
En effet, il existe des vortex disséminés sur toute la surface du globe, des spirales d’énergie qui circulent, de la Terre au Ciel, et du Ciel à la Terre, en tourbillonnant dans le sens vertical. Ces cheminées cosmo – telluriques, puissantes, étudiées en géobiologie, forment à certains endroits des portails.
Ces derniers, emprunts de magnétisme, s’ouvrent vers d’autres dimensions. C’est pourquoi, ils ont été côtoyés, il y a des milliers d’années, par tous les hommes de cultes comme les chamans, les prêtres, les Druides, dans le but de s’élever spirituellement, d’obtenir des guérisons et de voyager dans les mondes invisibles.
Une majorité de sites antiques voués aux Dieux sont reliés entre-eux sur ces lignes telluriques qui parcourent la planète sur des centaines de kilomètres. Ils étaient, autrefois, indiqués par des menhirs. Aujourd’hui, il n’est, donc, pas surprenant de les trouver près d’un site mégalithique, d’un temple romain, grec ou bouddhiste, d’une église ou d’une pyramide, la plupart reliés à un souterrain. Tous ces hauts-lieux spirituels où se pratiquaient des rites liés aux sciences occultes et aux forces invisibles de la Nature, ont été construits, délibérément, sur ces points regorgeants d’énergie.
Les peuples anciens qui détenaient la Connaissance de ces flux ont trouvé le moyen de les inscrire dans le paysage et de s’en servir.
Je me demandais, alors, pourquoi le monde souterrain, si présent autrefois, avait été ignoré et gardé secret depuis tout ce temps ? Après plusieurs années de recherches, je constatais que de nombreuses chapelles avaient été construites aux entrées des souterrains, pour sans aucun doute, les dissimuler… l’Eglise avait-elle peur que cet héritage païen fût découvert ? Souhaitait-elle , aussi, nous cacher des civilisations, modernes et ingénieuses, antérieures à la Bible ?
Les souterrains retrouvés sur ces lignes étaient, d’après mes recherches et mes intuitions, de véritables conduits d’énergie utilisés par nos lointains Ancêtres. Ils ouvraient des portes vers un monde secret, vers un autre plan vibratoire invisible à nos yeux…
Mais comment avais-je été amenée à me passionner pour les entrailles de la Terre ?
(…) »© *
*Extrait de mon prochain livre sorti prévu en juin 2017
Vous pouvez me retrouver sur Facebook dans mon groupe Astro-archéologie : révélations sur nos origines
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